Chères anciennes
Une messe de requiem sera célébrée le samedi 11 mai à 11h à St Joseph pour MM de St Luc. Merci de prévenir les anciens ou anciennes qui seraient heureux de venir. Les Mères vous gardent dans leur cœur et leur prière. M M Angelico
Chères anciennes
Une messe de requiem sera célébrée le samedi 11 mai à 11h à St Joseph pour MM de St Luc. Merci de prévenir les anciens ou anciennes qui seraient heureux de venir. Les Mères vous gardent dans leur cœur et leur prière. M M Angelico
Chère anciennes,
Toutes celles d’entre vous qui ont été à Saint-Joseph entre 1995 et 2005 ont dû garder un vif souvenir de notre Marie de Saint Luc dont la présence ne passait pas inaperçue tant elle était active, spirituelle, et dévouée.
La Bon Dieu l’a rappelée à Lui hier après de longs mois d’attente, où elle portait chacune de ses « anciennes » dans sa prière et son offrande quotidienne.
Nous la confions à votre prière, et serons heureuses que vous vous unissiez tout spécialement à nous mardi, jour de ses obsèques. Merci de communiquer cette nouvelles à celles des anciennes que nous n’aurions pu contacter.
Soyez assurées, chères anciennes, de notre grande et religieuse affection.
La communauté des Mères de Saint-Joseph
†
Mère Marie Pia o.p.,
Les Dominicaines du Saint-Esprit,
unies à sa famille,
recommandent à votre prière l’âme de
Sœur MARIE DE SAINT LUC o.p.
née Dominique de GERAULT de LANGALERIE
rappelée à Dieu munie des sacrements de la Sainte Église, le 3 mai 2019,
dans sa 88e année et la 66e année de sa profession religieuse.
Les obsèques auront lieu en la chapelle Notre-Dame de Joie de Pontcalec en Berné,
Le mardi 7 mai à 15 heures.
Le mois d’octobre est bien connu pour être le mois du rosaire en souvenir de la grande victoire de Lépante sur les Turcs en 1571. Derrière la grande fête de Notre Dame du Rosaire, se trouve la fête de la Maternité de Marie, le 11 octobre. En cette année de la divine Miséricorde aimons saluer Marie comme Mère de Dieu. Son Cœur de Mère est un don de Dieu le Père pour toute l’humanité qu’elle représentait au pied de la Croix : « Femme », oui, sous ce vocable en apparence distant, Jésus voyait toute l’Église naissante. Puis, quand il s’adresse à saint Jean, il lui dit : « Voici ta Mère ». Au moment où, sur la Croix glorieuse Jésus remet son esprit à son Père, Il fait don de sa Mère en union avec Dieu le Père et l’Esprit Saint. C’est une manifestation grandiose de sa divine Miséricorde, ces flots d’amour sont le fruit de la Croix et sont une réponse à nos milliers de pourquoi devant la souffrance !
Dieu le Père nous donne Marie en qualité de Mère, voilà son langage d’amour, comment faire comprendre aux hommes mon Amour, ce que je vis avec le Fils dans l’Esprit ? Quelle image puis-je leur donner qui les rapproche de moi ? Je vais leur donner une Mère, une Maman, une femme dont le Cœur si pur, si nouveau dans chacun de ses élan, si simple aussi puisse leur parler de façon émouvante et durable. On peut donc dire que l’amour maternel est une image vivante du Cœur de Dieu le Père infiniment bon et miséricordieux. Un cœur de Mère, c’est cette chaude atmosphère qu’il crée autour de lui ; c’est cette profonde tendresse témoignée à son petit enfant – car on reste toujours petit à ses yeux ! ; c’est cette aptitude à ressentir en elle tout ce qu’il éprouve en fait de joies et de tristesses ; c’est cette persévérance à multiplier pour lui gestes sauveurs et services en tout genre ; c’est ce regard toujours bienveillant qui excuse tout et bâtit un avenir toujours meilleur ; et pour cela, c’est enfin ces prodiges de cœur de mère parfois cachés et dont on ne saura la valeur incommensurable qu’au Ciel.
Voilà une image du Cœur du Père infiniment miséricordieux qui nous laisse à travers les Paroles de son Fils Jésus-Christ la clé de sa spiritualité : « Demeurez dans mon Amour » car, oui, en cette Année de la Divine Miséricordieux, c’est cela que nous avons mieux compris, un peu mieux vécu : « DIEU EST AMOUR ».
Lu dans Padre Blog
Lu sur Padreblog
Lors de l'audience générale du mercredi 4 février 2015, le Saint Père a brossé le portrait du bon père de famille :
• Sagesse
Pour le Pape, le père sage ne dit pas à son enfant : « Je suis fier de toi parce que tu es devenu semblable à moi, parce que tu répètes ce que je dis et tu fais ce que je fais ».
Il dit quelque chose de bien plus important, que l’on peut formuler ainsi : "Je serai heureux chaque fois que je te verrai agir avec sagesse et je serai ému chaque fois que je t’entendrai parler avec justesse. Voilà ce que j’ai voulu te laisser, pour que cela t’appartienne : cette attitude qui fait comprendre et agir, parler et juger avec sagesse et droiture".
• Maturité
Qui, selon le Pape, va permettre au père (mûr) de dire ceci à son enfant : « Je t’ai enseigné des choses que tu ne savais pas, j’ai corrigé des erreurs que tu ne voyais pas. Je t’ai fait sentir une affection profonde et en même temps discrète, que peut-être tu n’as pas reconnue pleinement quand tu étais jeune et faible. Je t’ai donné un témoignage de rigueur et de fermeté que tu n’as peut-être pas compris, quand tu aurais voulu plutôt complicité et protection. J’ai dû me mettre moi-même, le premier, à l’épreuve de la sagesse du cœur, et surveiller les excès du sentiment et du ressentiment ; pour porter le poids des incompréhensions inévitables et trouver les mots justes pour me faire comprendre ».
• Proximité
La première nécessité, (…) c’est que le père soit présent dans la famille. Qu’il soit proche de sa femme, pour tout partager : les joies et les souffrances, les peines et les espoirs. Et qu’il soit proche de ses enfants dans leur croissance (...). Père présent, toujours. Dire présent n’est pas pareil que dire « contrôleur » (ou surveillant), n’est-ce pas ! Parce que les pères qui contrôlent trop leurs enfants les brident (le Saint-Père a utilisé le mot annulare, « annuler », ndlr) et ne les laissent pas grandir ».
• Patience
Comme celle du Père du fils prodigue. « Que de dignité et de tendresse chez ce père, qui attend, sur le pas de sa porte, que son fils revienne, s’est exclamé le Pape ! Les pères doivent être patients. Tant de fois, il n’y a rien d’autre à faire que d’attendre. Prier et attendre avec patience, douceur, magnanimité et miséricorde. »
• Magnanimité
« Les enfants ont besoin de trouver un père qui les attend quand ils reviennent après leurs échecs. Ils feront tout pour ne pas l’admettre, pour ne pas le faire voir, mais ils en ont besoin. Et quand ils ne le trouvent pas, cela ouvre en eux des blessures difficiles à cicatriser »
• Fermeté
« Un bon père corrige mais n’humilie pas. Il sait attendre et pardonner, mais il sait aussi corriger avec fermeté : ce n’est pas un père faible, qui cède, sentimental. Il sait corriger sans humilier.» • Foi «Sans cette grâce qui vient du Père qui est aux Cieux, les pères, qui vivent la paternité à la première personne, perdent courage et abandonnent la partie… Qu’ils s’inspirent de saint Joseph, [modèle de] foi dans la bonté, dans la justice et dans la protection de Dieu. Même lui fut tenté de quitter Marie quand il découvrit qu’elle était enceinte. Mais l’ange du Seigneur intervint pour lui révéler le dessein de Dieu et sa mission de père putatif. Et Joseph, homme juste, "prit avec lui son épouse" et devint le père de la famille de Nazareth ».
Le Point - Publié le 20/09/2014 à 16:16
Les enfants de Steve Jobs achèteront-ils l iphone 6 ? Sûrement pas. Le fondateur d'Apple les a toujours tenus à l'écart des nouvelles technologies. Dans la Silicon Valley, les dirigeants à l'origine des tablettes, des iPhone, ou des jeux vidéo, laissent à peine leurs enfants toucher à un smartphone. C'est ce que souligne un article du New York Times. Steve Jobs, le célèbre fondateur d'Apple, ne fait pas exception. "Nous limitons l'utilisation des nouvelles technologies par nos enfants", a affirmé le célèbre Américain au journaliste Nick Bilton, en 2010. A la question "vos enfants aiment-ils l'iPad ? ", il avait d'ailleurs déclaré : "Ils ne l'ont jamais utilisé". Même constat dans la famille d'Evan Williams, un des fondateurs de Twitter. Chez lui, ses deux enfants n'ont pas de tablette et sont encouragés à lire des livres en papier, détaille le quotidien. Privilégier les activités culturelles était également le credo du fondateur d'Apple. "Chaque soir, pendant le dîner, dans la cuisine, Steve Jobs discutait littérature, d'histoire et d'une variété de choses," a rapporté Walter Isaacson, l'auteur de "Steve Jobs". "Personne n'a jamais sorti un iPad ou un ordinateur. Les enfants ne semblent pas accros à tous les périphériques ", ajoute l'auteur. Des écoles anti-technologies Selon Nick Bilton, la plupart des pionniers de la technologie limitent l'utilisation de ces gadgets par leurs enfants à 30 minutes par jour pendant la semaine, alors que d'autres ne tolèrent l'usage de la technologie que pendant le week-end. Une méfiance vis à vis de ces nouvelles technologies qui se retrouve jusque dans le choix d'école. A en croire le New York Times, de nombreux dirigeants et salariés de Google, Yahoo, Apple et eBay, envoient leurs enfants dans un établissement Waldorf, dont la pédagogie est particulièrement anti-technologique. Et pour cause, selon la direction, tablettes et smartphone représentent une menace pour la créativité, le comportement social et la concentration des élèves.
"Notre agenda nous signale tâches, labeurs, rendez-vous. Ils peuvent provoquer repli sur soir ou bien ouverture, lassitude ou occasions d'offrandes. Faut-il les vivre seul ou bien apprendre à prier avec ces maîtres que "Dieu nous a préparés de Sa main ? "Pourquoi notre agenda ne servirait-il pas à préparer une rencontre plus surprenante que le hasard ? Pour faire oraison, j'ouvre souvent, seulement, mon agenda."
R.P. Bro dans "La meule et la cithare"