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Et si la biologie parlait de la pilule…

 

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Rappels :

 

·         Le cycle féminin dépend de 2 hormones ovariennes, les oestrogènes (hormones féminisantes, principalement l’oestradiol), et les progestagènes (hormones qui préparent la grossesse, principalement la progestérone). Celles-ci sont elles-mêmes dépendantes de 2 hormones hypophysaires, la LH et la FSH, sécrétées par le lobe antérieur de l’hypophyse. Inversement, les hormones ovariennes exercent des rétro-contrôles sur le système hypothalamo-hypophysaire, lui-même responsable de multiples autres activités dans l’organisme. Le bon fonctionnement de celui-ci dépend donc d’un équilibre hormonal qui se met en place à la puberté, à la fois merveilleux par son extrême complexité mais aussi et par conséquent extrêmement fragile.

 

·         Or les pilules sont des moyens contraceptifs fondés sur l’absorption orale d’hormones de synthèse proches des hormones naturelles, progestatifs seuls ou oestrogènes et progestatifs associés :

 

      - La micropilule consiste à prendre quotidiennement et sans interruption, en commençant le 1er jour des règles, un comprimé contenant de faibles doses d’un progestatif qui a les propriétés de la progestérone. Ce produit a des effets locaux en intervenant sur la glaire cervicale qu’elle rend imperméable aux spermatozoïdes. L’ovulation a lieu, mais la fécondation est impossible, les gamètes étant éloignés. Ce produit empêche également la préparation à la nidation de l’endomètre utérin.

 

    -   Les pilules combinées ou associées : simultanément pendant 21 jours un œstrogène et un progestatif sont ingérés. Ces hormones de synthèse par rétroaction négative, freinent la libération de FSH et de LH. L’ovulation est bloquée. Il y a aussi modification de la glaire cervicale qui devient imperméable et un non développement de la muqueuse utérine.

 

    -   La méthode séquentielle consiste à prendre l’œstrogène seul pendant 7 jours puis une association d’œstrogène et de progestérone les 15 jours suivants. L’action sur le complexe hypothalamo-hypophysaire par rétroaction négative bloque l’ovulation.

 

·         Mais ces progestatifs sont tous au moins 1000 fois plus puissants, dose pour dose, que la progestérone naturelle ; toute dose quelle qu’elle soit, qui empêche la grossesse implique donc aussi une multiplication de modifications biochimiques et cellulaires, dont le résultat est :

 

       - de bouleverser totalement l’équilibre subtil de l’organisme féminin : la pilule réalise une castration médicale. Les cycles menstruels normaux et la production normale d’hormones cessent. 2 jours après l’arrêt de la pilule, la chute des taux d’hormone artificielle provoque un saignement réactionnel. Une femme qui prend la pilule n’a pas de périodes menstruelles normales.

 

       - et de provoquer des effets secondaires multiples : la pilule par elle-même suscite plus de maladies vasculaires et de cancers que le tabac. En effet, ces effets secondaires concernent non seulement la femme qui utilise la pilule mais aussi les enfants qu’elle pourra avoir plus tard (via le cordon ombilical et l’allaitement), et l’ensemble de la société. Ainsi, en vrac (faits et chiffres tirés de Amère pilule, la vérité sur le contraceptif chimique du Dr Ellen Grant, préfacé par les professeurs Lucien Israël et Henri Joyeux) :

     

   

1)      Multiplication des cancers :

 

  • Cancers du col utérin (parfois dit cancer in situ) : la pilule provoque une érosion du col utérin qui peut entraîner un cancer : le risque est multiplié par 6 chez les utilisatrices de pilule. En 1965, une jeune fille de 15 à 24 ans avait moins d’une chance sur 100 000 de présenter une érosion du col utérin ; le taux de mortalité a été multiplié par 4 ; en 1978, les chiffres pour l’Angleterre et le Pays de Galles avaient décuplé, passant de 0,8 pour 100 000 à 8,5. Jusqu’à l’âge de 19 ans, l’endocol de la femme est immature, et particulièrement sensible aux modifications qui conduisent à la malignité. Chaque fois qu’une jeune fille commence à avoir des rapports sexuels avant cet âge, elle augmente son risque de cancer du col d’autant que d’années de précocité sexuelle. Délibérément on a tellement mis l’accent sur une activité sexuelle plus intense, et en particulier sur le nombre des partenaires et les MST, en tant que causes du cancer du col, que les femmes sont peu disposées à avouer leur diagnostic à leur famille et à leurs amis. Mais les derniers chiffres montrent clairement que la cause la plus importante de cette épidémie chez les jeunes est la prise de la pilule. Une étude d’Oxford de 1983 montre ainsi que sur 16 cas de cancers du col, tous concernaient des utilisatrices de la pilule.

  

  • Cancers du sein : en 1975, 7000 cas sont découverts ; en 1995, il y avait 35 000 nouveaux cas ; en 20008, 53 000. En Angleterre et au Pays de Galles, le taux de cancer du sein s’est accru de 40% et celui de mortalité de 25%. Aujourd’hui, la France détient le triste record de 11 000 décès par an dus à ce cancer. Les risques sont multipliés par la durée de la prise et la précocité d’âge à la 1ère prise. Ce risque est encore accru si la pilule est utilisée par des femmes de moins de 25 ans n’ayant pas encore d’enfants.

 

  • Cancers de l’endomètre : ils ont été multipliés par 6 en Amérique depuis l’utilisation d’oestrogènes pour les symptômes de la ménopause : les femmes atteintes de cancer de l’endomètre sont 2 fois plus susceptibles de surpoids, de stérilité, d’hypertension ou de diabète, états tous reconnus stimulés par la prise de la pilule ou autres hormones. Ces cas de cancer ont 3 fois moins de chances d’avoir été enceintes plus de 7 mois et 2 fois plus de chances d’avoir pris des oestrogènes.

Il est indéniable aujourd’hui que la prise d’oestrogènes accroît de façon significative les risques de cancer.

 

 

2)      Problèmes circulatoires :

 

  • Les perturbations circulatoires : les facteurs de coagulation du sang, dus aux cellules appelées plaquettes, augmentent sous l’influence des taux élevés d’oestrogènes. Les femmes qui prennent la pilule ont donc un plus grand nombre de plaquettes visqueuses que la normale. Cela peut provoquer des thromboses, c-à-d la formation de caillots dans le sang, aussi bien dans les artères que les veines : ils entravent la circulation du sang et peuvent provoquer des attaques, des paralysies, des crises cardiaques, des douleurs abdominales, des phlébites ou des embolies pulmonaires. En fait, la plupart des morts vasculaires prématurées surviennent chez des femmes qui ont pris la pilule entre 1 et 6 ans : elles ont 4 fois plus de risques que les autres de mourir de maladies cardio-vasculaires.

  

  • Les parois des vaisseaux sanguins s’épaississent, parfois jusqu’à remplir entièrement l’un des vaisseaux.

   

  • Le risque d’hémorragie dans les tissus périphériques du cerveau est multiplié par 6 pour les utilisatrices de la pilule et par 22 pour celles qui fument de surcroît.

 

  • La pilule élève la tension artérielle car elle altère les hormones contrôlant la tension. Cela cause le durcissement des artères : plus une femme prend longtemps la pilule, même faiblement dosée, plus elle a de risques d’avoir une tension artérielle élevée.

 

  • Les infections urinaires ont davantage tendance à devenir chroniques chez les utilisatrices de la pilule, et les atteintes infectieuses répétées entraînent des lésions du rein.

   

  • Il y a risque de sclérose en plaque, maladie du système nerveux : la 1ère atteinte des gaines nerveuses est causée par une modification des petits vaisseaux sanguins qui entourent les nerfs. De 1963 à 1978, le nombre d’admissions à l’hôpital pour sclérose en plaque est resté le même chez les hommes, mais a été multiplié par 2 chez les femmes, et des expériences ont prouvé que la sclérose en plaque était aggravée par la progestérone.

 

3)      Problèmes physiologiques divers :

 

La pilule agit aussi sur les hormones réglementant la croissance et le métabolisme de l’alimentation, car elle bloque les mécanismes normaux de contrôle du cerveau. Cela a des conséquences comme :

 

  • La prise de poids.

  

  • La perte d’appétit.

 

  • La multiplication des problèmes de vésicule biliaire : les oestrogènes accroissent le taux de cholestérol tandis que les progestagènes retardent la vidange de la vésicule ; les 2 favorisent donc les calculs de cholestérol.

 

  • Le diabète : le Professeur Wynn et son équipe de l’hôpital St. Mary, à Paddington a montré comment la pilule pouvait être à l’origine de dialètes. La progestérone et les progestatifs (à doses minimes) peuvent élever le sucre du sang et causer une résistance à l’insuline.

 

  • Le vieillissement précoce : augmentation des fractures d’effort parmi les jeunes femmes qui prennent la pilule ; les maîtres de ballet de Londres ont constaté par exemple que leurs élèves avaient à l’heure actuelle davantage de fractures imprévisibles.

   

  • Les maux de tête : le fumeur moyen vient consulter à l’hôpital pour migraines après 2 paquets de cigarettes par jour pendant 25 ans ; l’utilisatrice moyenne de pilule vient après 3 ou 4 ans de contraceptifs oraux. Des femmes peuvent avoir des maux de tête 24h après la 1ère pilule et plus jamais ensuite pendant 3 ou 4 ans, jusqu’à ce qu’elles se mettent à en souffrir chaque jour : à ce stade, le mécanisme de protection du corps est épuisé.

   

  • Les allergies : les maladies allergiques et immunitaires ont atteint des proportions épidémiques parmi les femmes utilisatrices de la pilule. La pilule est un agent majeur de l’épidémie actuelle d’allergies alimentaires. En effet, les hormones ont un effet profond sur notre système immunitaire, et les femmes sont plus réactives que les hommes, en particulier les femmes enceintes, car les oestrogènes accroissent les taux d’anticorps : c’est un mécanisme de protection pour le bébé. Cela explique que les femmes enceintes ont davantage tendance à avoir des réactions allergiques à la nourriture pendant les 3 premiers mois. La progestérone a l’effet inverse et diminue la formation d’anticorps, ce qui provoque des risques d’infections.

Or des études ont montré que la pilule pouvait altérer les protéines immunitaires de manière significative : chez des malades souffrant d’allergies alimentaires, les taux d’anticorps du sang anormalement élevés ou bas reviennent à la normale quand on arrête la pilule. La consommation de certains aliments provoque des crises de migraines et on a remarqué que les femmes avaient tendance à réagir à ces aliments avant leurs règles ou quand elles prenaient la pilule.

 

  • Les grossesses extra-utérines : les femmes qui prennent des contraceptifs à base de progestatifs seuls courent plus de risques de grossesse ectopique. Des môles hydatiformes peuvent se former si quelques produits de la conception demeurent dans l’utérus ou dans une des trompes de Fallope après une fausse couche ou un avortement. Les pilules combinées triplent le risque qu’une môle se transforme en choriocarcinome vasculaire hautement évolutif. On ne voit jamais ces tumeurs malignes chez l’animal ; mais elles sont devenues beaucoup plus fréquentes depuis que l’usage généralisé de pilules faiblement dosées a accru le risque de grossesse.

   

  • Croissance significative des maladies pelviennes inflammatoires.

   

  • La stérilité : une grande partie de l’épidémie de stérilité est due à la pilule ou à l’utilisation du stérilet. Beaucoup de femmes ne parviennent plus à avoir d’ovulations après l’arrêt de la pilule. Les jeunes filles sont le plus souvent touchées : si la pilule leur a été prescrite pour régulariser leurs cycles, elles courent 7,7 fois plus de risques de développer une tumeur hypophysaire que les femmes qui prennent la pilule comme contraceptif.

 

4)      Problèmes psychophysiologiques : troubles de l’humeur et du comportement.

 

·    Les dépressions : dans les années 60, les femmes des essais sur la pilule qui se plaignaient de dépressions, de manque d’intérêt pour les relations sexuelles, d’irritabilité et d’agressivité, étaient classées comme névrosées. Après de multiples expériences, le Professeur Grant a prouvé que ces changements d’humeur étaient dus aux modifications hormonales causées par la pilule.

Une étude d’Oxford a montré que les utilisatrices de pilule étaient 4 fois plus nombreuses à être admises à l’hôpital pour tentatives de suicide que les femmes du même âge n’utilisant pas de contraceptifs chimiques.

En effet, les femmes ont besoin d’oestrogènes pour se sentir heureuses. Une pilule faiblement dosée en oestrogènes diminue les cas de risques physiques les plus effrayants mais provoque des tensions mentales : plus du ¼ des femmes prenant des pilules fortement dosées en progestérone mais faibles en oestrogènes deviennent dépressives. Dans les années 30, 3 hommes pour 1 femme tentaient de se suicider ; depuis les années 80, la proportion est inversée : 3 femmes pour 1 homme se suicident. Cf exemples tragico-comiques en annexe.

On constate aussi une énorme augmentation des prescriptions d’antidépresseurs et de tranquillisants chez les jeunes filles depuis la banalisation de la pilule.

 

·      Les morts accidentelles ont été multipliées par 2 chez les utilisatrices de la pilule, a montré une enquête publiée en 1981 du Collège des Médecins en Angleterre.

 

·      Accroissement de la violence : dans le cycle normal, quelques jours avant les règles, il y a accroissement d’un enzyme, le mono-amine oxydase (MAO), qui provoque chez la femme tension, irritation et angoisse ; c’est ce qu’on appelle le syndrome prémenstruel. Des articles scientifiques des 50 dernières années ont montré que les femmes ont plus tendance à avoir des accidents ou à commettre des crimes à ce moment : par exemple, des prisonnières françaises convaincues de crimes violents avaient commis 85% des attaques pendant la phase prémenstruelle critique.

Ces symptômes appartiennent au cycle normal et peuvent provoquer de l’angoisse, mais ne durent que quelques jours critiques ; la majorité des femmes apprennent à s’y adapter, chacune à sa façon. Le problème est que la pilule produit des modifications semblables à celles de la phase prémenstruelle en augmentant fortement le MAO, mais au lieu de se limiter à quelques jours, cet état critique peut se prolonger plusieurs semaines.

Or, depuis 1961, le nombre d’enfants hospitalisés pour violence maternelle n’a cessé de croître : des femmes fatiguées et déprimées sont moins patientes avec leurs bébés quand ils crient. Il y a certes des causes multiples à la violence envers les enfants (division des familles, alcoolisme, dépression du post-partum…), mais la pilule est l’un des principaux facteurs : les femmes prenant la pilule ont révélé qu’elles avaient des sentiments meurtriers envers leurs enfants quand elles prenaient la pilule mais se sentaient meilleurs dès qu’elles arrêtaient.

·    La plupart des contraceptifs oraux diminuent le taux de testostérone libre : normalement, les femmes sont au summum de leur attirance et de leur initiative sexuelle au milieu de leur cycle d’ovulation, et la plupart des contraceptifs oraux effacent cet effet de pointe, de telle sorte que les relations sexuelles s’en trouvent considérablement affectées.

 

·    A l’arrêt de la pilule, il peut se produire des épisodes subits de schizophrénie dus à ce que l’arrêt des stéroïdes altère la production de stéroïdes propres aux corps ; cela peut entraîner un œdème cérébral, une anxiété ou d’autres symptômes, parmi lesquels la dépression nerveuse est le plus courant.

 

5)      Conséquences sur les enfants.

 

En général, on croit que les hormones ne portent atteinte au fœtus que si elles sont prises pendant la grossesse. En fait, l’usage de la pilule peut rendre une femme inapte à la grossesse :

 

·    Le développement du col chez le fœtus est très vulnérable à l’influence des hormones : or on a prescrit des oestrogènes pour arrêter la lactation ou des progestagènes comme contraceptifs aux mères qui allaitaient.

 

·     En Amérique, les fils et les filles dits du DES, dont les mères ont pris du Diethyl Stilboestrol (même effet que les œstrogènes) pendant leur grossesse, ont développé des cancers des organes génitaux, en particulier des cancers du vagin chez des adolescentes. Une étude sur des jeunes gens, dont les mères ont pris des oestrogènes ou de la progestérone pendant leur grossesse, a révélé que moins de la moitié d’entre eux était susceptible de se marier, et qu’il y avait un taux plus élevé que la normale d’anomalies des organes sexuels, du sperme, de stérilité, d’infertilité et de cancers des testicules. On a relevé aussi qu’il y a aujourd’hui 7 fois plus de garçons avec un testicule non descendu, qu’il y en avait en 1969. Chez les filles, incidence croissante de fausses couches, de grossesses extra-utérines, de morts à la naissance, de travail prématuré et de stérilité.

 

·   Chez les enfants dont la mère avait pris un progestatif d’action prolongée, comme le DMPA, on a constaté une croissance significative des malformations vasculaires de la peau.

 

·   D’autre part, les malades qui ont le plus de réactions alimentaires ont le plus souvent des taux élevés en cuivre et en zinc dans le sang : or des taux élevés de métaux toxiques et des déficiences en métaux essentiels sont devenus très communs, de même que les carences ou les excès de vitamines. Il est notoire qu’ils sont à l’origine des la plupart des anomalies fœtales. Le zinc est un des éléments les plus importants pour le développement cérébral et le fonctionnement du cerveau. On constate par exemple chez les enfants dyslexiques une grande carence en zinc. Des enfants morts-nés sans raison apparente avaient 10 fois plus de plomb dans leurs os que les autres enfants et des taux très bas de zinc et de calcium, comme chez les prématurés. Or on a prouvé que le placenta ne présentait aucune barrière efficace au passage des métaux toxiques de la mère au fœtus, de même que l’absence d’un régime adéquat en zinc pendant la grossesse et la lactation peut conduire à une nette déficience immunitaire, irréparable ensuite, même avec une réhabilitation nutritionnelle à long terme. Des études sur les animaux ont montré que si les parents sont mal nourris, la santé des petits peut être affectée défavorablement pour plusieurs générations. L’utilisation des pilules et autres hormones présente donc de hauts risques pour les enfants à venir, car il est notoire qu’une seule exposition à de telles substances peut déclencher une modification permanente dans le cerveau d’un enfant et dans son système endocrinien. Non seulement un enfant est exposé à un risque grave si la mère prend par inadvertance ou délibérément des hormones au début de sa grossesse, mais encore la pilule provoque un déséquilibre minéral, en particulier en abaissant le zinc et en augmentant le cuivre. Les femmes qui viennent juste de stopper la pilule, même si elles ont une bonne alimentation, sont susceptibles de carence en zinc. Même si une femme attend 6 mois ou plus, avant de commencer une grossesse, il demeure improbable qu’elle puisse avoir accumulé suffisamment de zinc, à moins d’en avoir pris en supplément.

 

·    Il est connu depuis 1967 que la pilule augmente les risques d’anomalies chromosomiques, et une étude de 1979 rapporte des taux notablement élevés d’échanges de chromatides-sœurs chez des femmes qui sont sous pilules mini-dosées, comparées à des femmes normales et enceintes.

 

·    Problèmes de l’enfance : Nous constatons actuellement une augmentation brutale des problèmes de l’enfance : des bébés et des enfants avec de graves allergies au lait de vache ou au froment, et, à côté de l’épidémie d’hyperactivité, de plus en plus nombreux sont ceux, parmi nos enfants, qui grandissent en étant incapables d’apprendre à lire, à écrire ou à compter. Les taux de suicides chez les garçons comme chez les filles se sont accrus de 50% depuis les années soixante,. Non seulement les enfants sont plus souvent victimes de la mésentente des couples et des troubles psychiatriques maternels, mais encore l’exposition accidentelle ou délibérée aux hormones pendant la grossesse ou à la naissance peut entraîner des modifications persistantes dans le contrôle cérébral et l’immunité.

 

Conclusion

 

            « ″Il y a une très grande différence entre un bon docteur et un mauvais docteur, mais très peu de différence entre un bon docteur et pas de docteur du tout.″ Ce morceau de sagesse écrit par B. Franklin en 1787 est la parfaite devise de notre société de clinique écologique, et le Dr Ralph Paffenbarger y fait référence dans son article sur le cancer du sein quand il dit : ″Ces médicaments contraceptifs puissants,disponibles sur ordonnance, entraînent une considérable activité métabolique, et l’on sait qu’ils sont carcinogènes dans les expérimentations chez l’animal. En rédigeant ces ordonnances, nous, médecins, nous devons nous demander si Franklin nous classerait dans les bons ou les mauvais docteurs."

 

cf. p. 154-155 ci-jointes.

L’histoire de la pilule n’est pas seulement celle d’une sombre intrigue politique, ni même simplement celle d’énormes profits financiers. Ce n’est l’histoire de personne. C’est le scandale d’une collusion sur une échelle massive au niveau mondial. Les femmes ont besoin de pendre la pilule. Les hommes ont besoin que les femmes soient toujours disponibles. Il est conforme à la nature humaine de désirer quelque chose sans vouloir en payer le prix. […] Nous sommes tous responsables. Mais il est évident que la vraie victime c’est la génération future. L’heure de vérité s’est longtemps fait attendre. »

 

 

 

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